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Pomar Valter

le 15 October 2018

Responsable des relations internationales du Parti des travailleurs.

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Brugerolles Julien

le 15 October 2018

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le 15 October 2018

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Lafaurie Anne

le 15 October 2018

Article Economie et politique

Budget de l’an II. Bataille autour du pouvoir d’achat

le 15 October 2018

Budget de l’an II. Bataille autour du pouvoir d’achat

Premier volet aujourd’hui du projet de loi des finances 2019.

La traditionnelle saison budgétaire, qui va durer jusqu’à Noël, débute aujourd’hui par le premier  volet du projet de loi de finances (PLF) 2019, consacré aux « ressources » de l’État, c’est-à-dire impôts et taxes, durant une longue semaine.

Le cap a été fixé l’année dernière et pour cinq ans, avec un allègement de la fiscalité sur le capital pour l’orienter vers l’investissement, un objectif de réduction de la dette ainsi que des dépenses publiques contenues.

Mais entre une croissance molle (1,7% attendu par Bercy) et les promesses à Bruxelles de bonne conduite budgétaire, ce budget n’a pas été évident à boucler. Le déficit public devrait atteindre 2,8% du PIB en 2019 contre 2,6% cette année.

« Tours de passe-passe »

Alors que la politique d’Emmanuel Macron est perçue comme inégalitaire par une partie de l’opinion, la baisse des impôts atteindra l’année prochaine six milliards d’euros pour les ménages, « plus grande baisse » depuis 2008, affirme le ministre des Comptes publics, malgré les hausses de taxes sur les carburants et sur le tabac, évaluées par le gouvernement à 2,3 milliards d’euros. Gérald Darmanin met en avant « la deuxième tranche de suppression de la taxe d’habitation, le plein effet des baisses de cotisations sociales, la mesure de correction de la contribution sociale généralisée (geste fiscal pour 300.000 retraités, ndlr), le coup de pouce aux heures supplémentaires ». Mais les oppositions crient au mensonge sur ces 6 milliards, du fait de « singuliers oublis » selon LR, de tours de « passe-passe » selon les socialistes voire d’une « arnaque » aux yeux de la gauche de la gauche. L’Observatoire français de la conjoncture économique (OFCE) a évalué à 3,5 milliards le gain de pouvoir d’achat l’an prochain pour les ménages, en incluant notamment le quasi-gel des pensions de retraites et des allocations. Cette mesure figure dans le projet de budget de la Sécurité sociale, qui sera examiné en parallèle en commission.

Les retraités dans la rue jeudi

Selon l’Institut des politiques publiques (IPP), le gain de pouvoir d’achat retomberait même à 1,2 milliard d’euros si l’on prend en compte la hausse des taux de cotisation pour les retraites complémentaires des salariés du privé.

Tous les ménages, en outre, ne seraient pas logés à la même enseigne. Les réformes de 2018 et 2019 entraîneront ainsi une hausse du revenu disponible de près de 1% pour les 60% de « ménages intermédiaires », c’est-à-dire les classes moyennes, et une perte nette de 0,5% à1% pour les 20% de ménages les moins fortunés, souligne l’IPP. Les retraités notamment s’apprêtent à manifester jeudi, pour la quatrième fois en un an, contre les choix budgétaires du gouvernement. Et le mécontentement des foyers recevant des avis de taxe d’habitation en hausse se fait aussi entendre sur les réseaux sociaux, le gouvernement rejetant la responsabilité sur certains maires.

L'Indépendant, le 15 octobre 2018

Il y aura bien un projet de « loi Blanquer »

Il y a un an, Jean-Michel Blanquer, nouveau ministre de l’Éducation nationale assurait que « l’école n’a pas besoin, à chaque alternance politique, d’une nouvelle loi. Elle peut se gouverner autrement. Il n’y aura pas de loi Blanquer, j’en serai fier. » Un an plus tard, la promesse tombe à l’eau et c’est bien une nouvelle loi que prépare le ministre qui succombe comme ses prédécesseurs à ce que l’on pourrait appeler le syndrome de Grenelle, du nom de la rue où se situe le ministère. Le syndrome qui veut que chaque ministre souhaite laisser son empreinte. A la décharge du ministre, devenu un poids lourd du gouvernement, la mise en œuvre de toutes les mesures nécessitait vraisemblablement d’en passer par un projet de loi.

Ce projet qui pourrait s’intituler « Pour une école de la confiance », doit être dévoilé aujourd’hui devant le Conseil supérieur des programmes, organisme consultatif. Le texte qui a fuité via plusieurs sites web spécialisés comprend vingt-quatre mesures qui doivent entrer en vigueur en septembre 2019 et, pour un volet relatif à la réforme territoriale le 1er janvier 2020.

L’instruction obligatoire dès l’âge de 3 ans, une réforme de la formation des enseignants, la possibilité donnée aux surveillants d’enseigner, un nouveau découpage national pour les rectorats, et la mise en place d’un nouveau Conseil d’évaluation de l’école en font partie.

L'Indépendant, le 15 octobre 2018

Colère contre le carburant « trop cher »

le 13 October 2018

Colère contre le carburant « trop cher »

Les automobilistes fustigent la flambée des prix du gazole et de l’essence.

L’addition est de plus en plus douloureuse. À ce jour, dans les Pyrénées-Orientales, le litre de gazole coûte en moyenne 1,52 euro. Soit une hausse de 3,6% (5 centimes par litre) depuis le mois dernier. Si l’on compare avec les prix pratiqués en décembre 2017, on constate une augmentation de 22 centimes par litre de gazole (+17,4%). Dans le même laps de temps, l’essence sans plomb (SP95) est passée de 1,40 euro à 1,57 euro le litre. Selon Jean-Claude Saugues, le gérant de la dernière station-service indépendante de Perpignan, Pétror, cette inflation est essentiellement due à la flambée des prix du pétrole brut. Et pour cause : le baril a atteint la semaine dernière son plus haut niveau depuis quatre ans en dépassant la barre symbolique des 86 dollars.

« Il faut qu’ils arrêtent ! »

« Le prix du baril est remonté car l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a réduit sa production », analyse Jean-Claude Saugues. « Pour ce qui est des taxes, c’est surtout en janvier que ça va faire mal avec 7 centimes d’euros supplémentaires sur le litre de gazole (4 centimes pour l’essence, NDLR). Il faut qu’ils arrêtent d’augmenter les prix ! Les clients râlent de plus en plus et ils regardent leur consommation au plus près : au lieu de faire le plein, ils y vont à coup de dix euros. » Résultat : l’activité de la station ralentit et de leur côté, les automobilistes oscillent entre résignation et colère. « C’est sûr qu’il y en a ras le bol », s’énerve par exemple Frédéric, un plombier perpignanais de 38 ans. « Mais je ne fais pas forcément plus attention qu’avant. J’ai besoin d’essence… » D’autres essaient de prendre leur voiture le moins souvent possible. C’est notamment le cas d’Habib, un ancien prof de maths de 54 ans : « Plus d’un euro cinquante le litre de gazole, c’est fou. Je ne prends la voiture que quand c’est vraiment nécessaire. J’habite au parc Ducup et je viens souvent à Perpignan à vélo ou à pied. Moi, j’aime marcher et je suis en bonne santé. Mais les autres comment ils font, avec le coût de la vie qui ne cesse d’augmenter ? »

La tentation espagnole

Charles et Marie-France, un couple de retraités résidant à Ponteilla confient pour leur part être attentifs aux prix pratiqués par chaque station. « On va là où on trouve le moins cher, comme tout le monde », résume Charles. « Il faudrait qu’on regarde si ça vaut le coup d’aller en Espagne… »

Selon plusieurs automobilistes nord-catalans ayant déjà franchi le pas, le jeu peut effectivement en valoir la chandelle. « On gagne environ 30 centimes sur un litre de gazole », assure un habitué. Mais Marie, une infirmière pollestrencque de 31 ans, relativise. « Si vous y allez uniquement pour faire le plein, ce n’est pas forcément avantageux », estime-t-elle. « Par contre, si vous y allez faire vos courses et que vous en profitez pour faire le plein, ça devient intéressant. » Conseil d’experte.

Arnaud Andreu (L'Indépendant, le 13 octobre 2018)

Un nouvel affichage très discret

Il faut ouvrir l’œil pour repérer la nouvelle signalétique obligatoire depuis hier sur les pompes à essence. Destinée à harmoniser l’étiquetage des carburants à l’échelle européenne, celle-ci se résume en fait à un premier autocollant apposé sur le pistolet et à un second, relativement petit, rajouté sur l’appareil de distribution.

« Pour nous, ça ne change pas grand-chose », explique le patron de la station perpignanaise Pétror. « Les étiquettes, ça prend cinq minutes à mettre. Et les clients ne sont pas perdus. Il y a toujours marqué gazole ou sans-plomb. On a juste rajouté B7 et E5 à côté. » Geoffrey, qui officie en tant qu’opérateur chez Pétror, confirme : « Pour nous, ça ne change rien. Par contre, c’est bien pour les touristes. Ils posent souvent des questions car les carburants n’ont pas forcément les mêmes noms chez eux. »

L'Indépendant, le 13 octobre 2018

Taxe d’habitation. Le palmarès des communes qui ont voté une hausse

le 13 October 2018

Taxe d’habitation. Le palmarès des communes qui ont voté une hausse

Les ménages doivent recevoir dans les prochains jours une taxe d’habitation à la baisse. Pas partout.

La baisse de la taxe d’habitation ne sera pas ressentie de la manière aux quatre coins du département. Mesure phare du quinquennat d’Emmanuel Macron, la diminution progressive, 30% dès 2018 sous conditions de revenus, vers l’exonération de cet impôt local à l’horizon 2020, devrait entraîner quelques incompréhensions chez les contribuables qui au contraire connaîtront une stabilité, voire une augmentation de leur facture. En cause : la décision dans le département de 43 municipalités qui ont augmenté les taux communaux, comme le permet la loi. À l’opposé, trois communes ont décidé de baisser cet impôt : Le Perthus (-54,4%), Fontrabiouse (-5%), et Llagone (-4,6%), quand 180 ont préféré ne pas toucher à ce taux.

« Trouver l’argent quelque part »

Alors que l’exécutif s’était engagé à verser aux communes le manque à gagner des baisses de recettes, un maire sur cinq du département, principalement dans les petites communes, a décidé de faire fi de cette promesse en augmentant les taux. Alors que nous avons essayé de contacter hier plusieurs maires ayant fait ce choix, rares sont ceux qui ont bien voulu nous répondre. Parmi eux, Jean Vila, maire communiste de Cabestany, a fait voter en 2018 une hausse de 2,4 % de cette taxe d’habitation. « Si on veut bien assurer les services municipaux pour les habitants, dans le contexte où l’État a baissé de moitié en quatre ans ses dotations à la commune, il faut bien trouver de l’argent quelque part. Cela fait trois ans que nous augmentons cette taxe pour compenser, en toute petite partie, ce manque à gagner des dotations. Il demeure que nous avons un des taux les plus bas des communes de notre strate ».

« La règle argelésienne »

Maire divers-gauche d’Argelès-sur-Mer, Antoine Parra assume également « cette hausse douce et supportable » de 2% en 2018. Cela représentera une hausse des recettes à hauteur de 200.000 €. « C’est une règle argelésienne. Tous les ans, nous augmentons la taxe d’habitation. La vie de la commune l’exige, en sachant que nous avons un taux en deçà des moyennes départementales et nationales. La situation particulière d’Argelès-sur-Mer, avec sa forte saisonnalité, nous oblige à faire des investissements importants ». D’un autre côté, l’élu réfute toute crainte de voir les compensations de l’État à la baisse dans les années à venir. « Elle sera calculée sur les taux de la taxe d’habitation de 2017. Cela a été annoncé clairement, donc à aucun moment cette hausse sur Argelès n’a été faite par peur d’un désengagement de l’État ».

Julien Marion (L'Indépendant, le 13 octobre 2018)

Quand la référente locale LREM vote une hausse de la taxe d’habitation

La nouvelle mairesse de Mont-Louis, Joëlle Cordelette, n’aura pas fait partie des 30.000 premiers magistrats félicités hier par le Premier ministre Édouard Philippe qui, au cours d’un déplacement à Clermont-Ferrand, s’est exprimé sur les évolutions de cet impôt. En proie à des difficultés budgétaires et alors que de lourds investissements sont nécessaires sur la commune inscrite au patrimoine mondiale de l’Unesco, la majorité municipale a fait le choix d’augmenter son taux de près d’un point. Référente départementale depuis l’été 2017 de la République en Marche, Frédérique Lis, première adjointe et fille de la mairesse, a donc voté cette hausse d’un impôt que la majorité présidentielle devrait pourtant d’ici 2020 supprimer. Une contradiction que la jeune élue assume. « Évidemment que je défends cette mesure fiscale du gouvernement, mais aussi celle du conseil municipal. La situation financière de Mont-Louis est particulière et cette hausse de la taxe d’habitation s’inscrit dans un programme établit sur plusieurs années afin de réaliser les travaux nécessaires ». Frédérique Lis avoue aussi que les « angoisses » des élus sur la maîtrise des finances communales « sont tout à fait légitimes. Il faut entendre ces messages et y répondre. Cette relation Éta-commune est une vraie question et je suis bien placée pour le dire. Maintenant, le président et le gouvernement n’ont eu de cesse de prendre des engagements et je sais que l’on peut leur faire confiance ».

L'Indépendant, le 13 octobre 2018

Communiqué de Presse SNEP-Fsu du 12 octobre 2018 : Cycl'Action Les Profs d'EPS mouillent le maillot pour leurs académies le 21/10

le 12 October 2018

Communiqué de Presse SNEP-Fsu du 12 octobre 2018 : Cycl'Action Les Profs d'EPS mouillent le maillot pour leurs académies le 21/10

 

Communiqué de Presse du SNEP-FSU Poitiers/Bordeaux/Limoges du vendredi 12 octobre 2018 :

 

Les Profs d’EPS de la Région Nouvelle- Aquitaine mouillent le maillot pour refuser la surchauffe de la fusion de leurs académies

 

 

Dimanche 21 octobre à partir de 9h, les Professeurs d’EPS du SNEP-Fsu s’élanceront des Rectorats de Poitiers, Limoges et Bordeaux, pour une randonnée cycliste, la Cycl’Action SNEP, qui les conduira à Angoulême, devant la DSDEN, à la Cité administrative près du Champ de Mars. 

 

En effet, La fusion des 3 circonscriptions académiques qui est en préparation est dans la continuité de la création des grandes régions suite à la réforme territoriale de 2015. L’Éducation Nationale est le dernier service de l’État à ne pas être organisé à cette échelle : la FSU avait dès l'origine dénoncé et combattu cette réforme. 

 

L’objectif poursuivi par cette réforme est la concentration de la gestion des moyens et des centres de décisions à Bordeaux, la spécialisation des sites qui pourrait apparaître comme un atout mais qui masque en réalité une volonté d'économies et rompt avec l'ambition de faire progresser la qualité du service public en chaque point du territoire.

A cela s'ajoute des perspectives de mutualisations de services entre plusieurs départements, à la globalisation des circonscriptions du 1er degré, et des bassins du second degré, avec une fragilisation toujours plus accrue des établissements ruraux. Ce sera aussi le cas pour la gestion du Sport scolaire qui concerne plus de 120 000 élèves ans l’ensemble de nos 3 académies. Nous pouvons craindre des redéploiements budgétaires rompant ainsi les équilibres financiers des services UNSS des académies les plus rurales déjà confrontés au défit de la diminution des subventions des collectivités territoriales et à l’explosion des coûts de déplacements.

 

Tout ceci aurait des conséquences négatives pour les personnels :

Les mutualisations conduiront mécaniquement à de lourdes économies d'échelle et donc des suppressions de postes, notamment au niveau des services administratifs, avec des mobilités fonctionnelles et géographiques plus ou moins imposées et donc  subies. Ces choix conduiront à une perte de savoirs faire de cœur de métier et à une augmentation très nette de la charge de travail. 

 

Tout ceci aurait aussi et surtout des conséquences pour les usagers :

Cette réforme va à l'encontre des objectifs de justice sociale dont les services publics, sont le dernier rempart protégeant les plus faibles, garantissant l'accès à l'éducation et la réussite de tous les enfants des familles qui sont les plus éloignées de l’École. Que ce soit en matière d'accès à l'éducation, à la culture et au sport ou bien sur l'organisation des services publics, cette réforme va renforcer la fracture territoriale et le sentiment de relégation des populations rurales et des quartiers, entérinant et accentuant les déterminismes sociaux que l’École a grand mal à réduire.

 

En convergeant en vélo depuis chacun des 3 rectorats (Poitiers, Limoges et Bordeaux) vers Angoulême, ville centrale de la région Nouvelle-Aquitaine, soit environ 150 Km, les Professeurs d’EPS souhaitent donner corps à leur opposition à cette nouvelle réforme territoriale. En effet, les Profs d’EPS du SNEP soutenus par la FSU et ses syndicats œuvrent pour sauvegarder le dialogue social créé à la Libération et dont les effets en matière de progrès social et d'aménagement des territoires sont incontestables. C’est pour toutes ces raisons qu’ils mouilleront le maillot le dimanche 21 octobre 2018, sur les routes de la région et qu’ils tiendront un point presse à leur arrivée à Angoulême.

 

Contact Presse :

Christophe Mauvillain, Secerétaire académique Poitiers : 06.31.02.40.12

 

Un millier de Lotois dans la rue pour «sauver le pays» // 2018.10.10

le 10 October 2018

Un millier de Lotois dans la rue pour «sauver le pays» // 2018.10.10

La rue comme théâtre de contestation, hier, à Martel (100 manifestants), Cahors (500) et Figeac (450) : c'est encore une fois la méthode choisie par la CGT, FO, Solidaire, l'UNEF et l'UNL, pour mobiliser les salariés, les retraités, les lycéens et les étudiants tous unis, à l'image d'une intersyndicale soudée, contre «la casse des services publics, des acquis sociaux et d'un système de santé en péril. Il faut sauver le pays et la Sécu, c'est clairement notre système de protection sociale qui est en danger» résume Serge Altié futur retraité de l'éducation nationale.

Il est venu à la manif de Cahors avec ses enfants lycéens.

Inquiets pour leur avenir, ils réclament «une meilleure valorisation salariale pour les métiers de l'enseignement», carrière qu'ils veulent embrasser mais pas à n'importe quel prix. Le maire PS de Cahors, Jean-Marc Vayssouze, a fait une apparition remarquée sur la place Mitterrand vers laquelle ont convergé les manifestants.

À Martel, le cortège a démarré sur un air de la Marche Funèbre de Chopin et a accompagné un cercueil symbolisant la fermeture des perceptions de Martel et Latronquière. Les diverses interventions des élus et syndicalistes soulignaient «la volonté de l'Etat d'isoler de plus en plus ses concitoyens».

Le cercueil a été déposé devant un cimetière improvisé comptant 13 croix représentant les onze fermetures de perception depuis dix ans, plus les deux actuelles de Martel et Latronquière. À Figeac, près de 450 manifestants sont venus de tout l'est du département. De nombreux retraités étaient présents aux côtés des actifs et des membres de partis politiques tels que le PC, le PS et la France insoumise. Prochain temps fort social, le samedi 20 octobre à 17 heures en gare de Cahors pour protester contre la suppression de trois guichetiers sur quatre dans cette gare. Un appel à la mobilisation signé «Tous ensemble pour les gares»

J.-L.G avec J.D et M.

Université permanente du PCF. Le féminisme matérialiste : une proposition de lecture critique

le 05 October 2018

Université permanente du PCF. Le féminisme matérialiste : une proposition de lecture critique
L'Espace Niemeyer
6, avenue Mathurin-Moreau
75019 - Paris
(Métro L 2: Colonel Fabien)

Mardi 2 avril à 19h

 

 

—> Conférence retransmise en direct sur Facebook.

—> Dès le lendemain en différée sur la chaîne Youtube de l'Université Permanente.

L'Université Permanente, c'est tous les mardis ou presque, à 19h précises.