Section Tarnos - Seignanx

 

En élisant aujourd'hui 6 mai, François Hollande président de la République, le peuple de France s'est libéré d'un pouvoir qui l'a méprisé et agressé pendant 5 ans. Je veux dire la joie des communistes qui ont combattu sans relâche Nicolas Sarkozy et sa politique et qui ont œuvré de toutes leurs forces à cette victoire.

Je veux féliciter François Hollande pour son élection. Les femmes et les hommes qui se sont rassemblés sur sa candidature pour infliger à Nicolas Sarkozy la défaite qu'il méritait ont ouvert un nouvel espoir en France, et en Europe.

Je veux remercier les millions d'électrices et d'électeurs du Front de gauche qui ont apporté une contribution décisive à ce résultat. Sans la campagne mobilisatrice menée par le Parti communiste français et ses partenaires du Front de gauche avec leur candidat commun, Jean-Luc Mélenchon, sans les propositions de notre programme, L'Humain d'abord, sans notre engagement déterminé entre les deux tours, la victoire n'aurait pas été possible. Elle ouvre un nouveau chapitre pour notre pays. 

François Hollande est le premier président élu par les électrices et les électeurs de gauche depuis 24 ans. 

Il était indispensable de mettre un terme à une présidence au service des privilégiés, prenant systématiquement pour cible le monde du travail, ses droits sociaux et démocratiques, les libertés démocratiques. 

Il était indispensable que le co-auteur, avec Angela Merkel, d'un traité européen promettant l'austérité à perpétuité aux peuples et les plein-pouvoirs au capitalisme financier, soit désavoué par son propre peuple. 

À tous les peuples d'Europe qui attendaient ce signe de la France, je dis : ensemble, il redevient possible de faire reculer la dictature financière qui nous menace tous ; ensemble, nous pouvons relancer le combat pour une Europe démocratique, une Europe de justice sociale, de développement solidaire et écologique.

Oui, ce 6 mai 2012, nous avons remporté une première bataille capitale. Un président de gauche siège à l'Élysée. La gauche doit sans tarder répondre aux urgences sociales qui n'attendront pas. Des mesures immédiates pour les salaires, pour la relance du pouvoir d'achat, pour la lutte contre le chômage et la renégociation d'un traité européen doivent être prises.

S'ouvre dans le même temps une nouvelle bataille, celle des élections législatives dont va maintenant dépendre la possibilité de maintenir grande ouverte la porte du changement. 

Il faut maintenant élire à l'Assemblée nationale une majorité de gauche qui soit à la hauteur de la situation et compte pour cela en son sein les députés prêts à voter les lois sociales et démocratiques sans lesquelles le changement ne sera rien.

Il faut de très nombreux députés qui n'aient pas une seconde d'hésitation pour abroger les lois scélérates du quinquennat Sarkozy et des dix années de droite au pouvoir. 

Il faut de très nombreux députés pour reprendre le pouvoir sur le secteur bancaire et financier, pour mettre en place un pôle public de la banque et du crédit.

Il faut de très nombreux députés favorables au relèvement significatif du SMIC et des salaires, décidés à engager le retour de la retraite à 60 ans à taux plein pour tous, à interdire les licenciements boursiers, à relancer l'emploi industriel et les services publics.

Il faut de très nombreux députés qui aient le courage de soumettre au vote des droits nouveaux pour les salariés du public comme du privé, pour les travailleurs indépendants à l'avenir précaire, pour les jeunes qui méritent mieux que l'apprentissage à vie, pour les femmes dont les salaires sont toujours largement en deçà de ceux de leurs collègues masculins. 

Les menaces de la droite et de l'extrême droite pour empêcher ces changements ne sont pas mortes avec la défaite de Nicolas Sarkozy. Leurs candidats aux élections législatives doivent être partout battus, et il faut barrer la route à l'entrée du FN à l'Assemblée nationale. Partout où elle a eu cette possibilité en Europe, l'extrême droite a aggravé les reculs sociaux. Il n'en sera pas ainsi en France, le PCF et ses partenaires du Front de gauche s'y engagent.

Ce soir, j'appelle les candidates et candidats du Front de gauche aux élections législatives à repartir partout au combat pour rassembler autour de ces objectifs l'ensemble des électrices et des électeurs qui ont permis la victoire à l'élection présidentielle. 
J'appelle l'ensemble de ces électrices et électeurs, pour garantir le changement, à mettre les candidats du Front de gauche en tête de la gauche dans le maximum de circonscriptions, le 10 juin, et à en élire ensuite le plus grand nombre, le 17 juin prochain.

Pierre Laurent
Secrétaire national du Parti communiste français

 

 

 

Alain Baché, secrétaire fédéral du Parti communiste des Landes, a répondu à l’invitation du Parti Socialiste le 27 avril dernier de lancer un appel à battre Sarkozy au Second tour des élections Présidentielles. 

 

Rappelant que le Front de gauche restait mobilisé autour de son programme «L’Humain d’Abord», il a appelé à tout faire pour battre Sarkozy. «Il est possible de mettre fin à ce long calvaire de casse sociale, de démantèlement des services publics, du démantèlement de notre système de solidarité, la retraite et la sécu en particulier. Avec cette droite qui a livré les intérêts du peuple français, les intérêts du monde du travail, les intérêts de la France qui se lève tôt, aux marchés financiers et aux actionnaires. Nous voulons mettre fin à cette politique de classe le 6 Mai et lors des élections législatives. Et une des bonnes nouvelles de ce 1er tour c’est la présence et les bons résultats du Front de Gauche. (...) C’est avant tout un appel, une aspiration à des réponses immédiates sociales et politiques pour de réels changements.»

 

Dénonçant la montée du Front National dans notre Département, il a appelé à ce que les services publics réinvestissent le secteur rural, au lieu de les isoler à coup de suppression de moyens, de postes, et de concentration dans les grandes villes.  Il a également appelé à s’interroger sur les valeurs véhiculées actuellement par notre société, et notamment par les médias qui, pour une grande partie d’entre eux, ont dangereusement contribué à «relooker» le parti d’extrême-droite tandis qu’ils qualifiaient d’utopistes ou de populistes les militants du Front de Gauche. « La déraison, il faut plutôt la chercher vers celles et ceux qui n’entendraient pas ces « cris » des urnes. Et pour ce qui nous concerne, nous ne lâcherons rien ! Il ne va pas que s’agir de reprendre comme nous l’avons fait dans la campagne le slogan « résistance », mais d’aller au bout de notre démarche. Faire que la mobilisation et le rassemblement du peuple de gauche soient entendus et que la gauche ne fasse pas preuve de frilosité, mais soit au contraire cette gauche du courage face au diktat des forces de l’argent. Nous savons les uns et les autres, et nous aurions tort de le cacher, qu’il existe entre nous un débat sur le contenu même d’une politique de gauche, d’une politique de progrès social et de conquêtes sociales. Sachons mener ce débat dans le respect de ce que nous sommes les uns et les autres et de ce qui nous différencie.» 

Alain Baché a ensuite rappelé quelques-unes des propositions du Front de Gauche appuyées par ses 4 millions d’électrices et d’électeurs : une nouvelle répartition des richesses, un retour à la retraite à 60 ans à taux plein et d’un SMIC à 1.700 euros (rappel : +22% en 1981 et +35% en 1968), le logement à un prix accessible et une action de grande ampleur contre la précarité, la défense et l’élargissement des services publics, un saut qualitatif de nos institutions pour une VIe République dans laquelle les travailleurs disposeraient de nouveaux pouvoirs à l’entreprise, la nécessité d’une mutation écologique de nos systèmes productifs, de nos habitudes de consommation pour faire face aux urgences environnementales.

 

«Et si l’urgence immédiate est de battre le Président actuel, nous ne perdons pas de vue qu’il faudra très rapidement répondre à ces attentes sociales exprimées dans les votes. C’est donc sans ambiguïté, sans marchandage, que nous appelons chaque électrice et chaque électeur à voter pour le candidat du Parti Socialiste, François Hollande, au deuxième tour de l’élection présidentielle.»

 

Néanmoins, Alain Baché a prévenu que battre la droite ne suffira pas. 

« La gauche, si elle gagne dans 9 jours, si elle emporte une majorité à

l’assemblée sera, dans le contexte de crise que nous connaissons face à une responsabilité historique. Notre peuple attend des réponses ambitieuses sur les salaires, et les pensions, sur les retraites, sur l’emploi, les services publics. C’est dire si renégocier le diktat du patronat et des marchés financiers n’y suffira pas. Il faudra rompre avec.

Donc ces politiques doivent passer par des ruptures avec les politiques menées depuis 10 ans par la droite mais aussi et surtout par des ruptures avec les politiques d’austérité menées dans toute l’Union européenne. (...) Le Traité Merkozy devra être jeté à la poubelle, un espace sera ouvert pour un changement de la politique de l’Union européenne. Des résistances pourront s’ouvrir à l’Assemblée Nationale qui devra se conduire par d’autres décisions que les abstentions comme celle que l’on a pu voir lors du vote sur le Mécanisme Européen de Stabilité» (2 députés des Landes socialistes sur 3 s’étaient abstenus, laissant de la sorte passer le texte)

 

Après avoir saluer les travailleurs actuellement en lutte dans le département, Alain Baché a dénoncé «l’instrumentalisation du 1er Mai par Sarko et l’UMP, après le FN, est une attaque supplémentaire portée au monde du travail. Au travers de cet acte, ce sont les syndicats qui sont dans le viseur, qui se sont battus contre ce pouvoir pour les retraites, la sécurité sociale, les services publics, l’école, l’emploi, les salaires et contre les mesures d’austérité. Aussi, aux côtés des syndicats, faisons du 1er Mai 2012 un grand temps fort des revendications» 

 

 

 

Retrouvez l'intégralité de l'intervention d'Alain Baché ci-dessous

 

 

 

 

Réaction de Jean-Marc LESPADE et Hélène COUSSEAU à la victoire des grévistes de La Poste du Sud des Landes.

 

C’est une énorme satisfaction que l’obtention de postes supplémentaires pour la Poste du Sud des Landes.

 

Petit à petit, comme dans l’ensemble des services publics, une politique de suppression des moyens humains a été mise en place, selon des logiques de rentabilité immorales. En s’appuyant sur des chiffres et des projections douteuses - comme par exemple ceux mis en avant au début du conflit par la direction de La Poste -, on sacrifie tout ce qui fait la force et le sens même de l’existence de services publics.

 

Dans notre pays, La Poste est un symbole, et les facteurs jouent depuis très longtemps un rôle important en terme de lien social.

C’est pourquoi, la privatisation pernicieuse de La Poste sous des masques de «réalisme» avait été dénoncée lors d’une votation populaire qui avait mobilisé plusieurs millions de citoyens. A Tarnos et dans le Sud des Landes, nous avons l’habitude de lutter ensemble, citoyens, associations, partis politiques, syndicats, pour défendre cet outil national qui nous appartient.

 

Dans le contexte actuel d’attaque de tous les acquis sociaux, de dégradation des salaires et des conditions de travail, alors que la droite met à l’index les fonctionnaires et leur statut (bien que plus de la moitié des employés de La Poste ne soient plus fonctionnaires), la victoire obtenue par les Postiers du Sud des Landes constitue un sacré encouragement. Elle arrive comme une bouffée d’espoir et d’oxygène pour tous ceux qui luttent dans le monde professionnel, à la veille d’un Premier Mai qui refusera d’opposer les travailleurs entre eux, comme tente de le faire lamentablement le candidat-président.

 

Même si cette victoire a été obtenue par la mobilisation de nombreux bureaux de Poste, nous avons une pensée particulière vis-à-vis de ceux qui, notamment à Tyrosse, étaient en grève depuis le 13 avril. Ce conflit, qui n’a fait de bien à personne, aurait pu être évité si la direction avait pris en considération plus tôt les mises en garde et les alertes des postiers.

 

Je voudrais aussi féliciter tous ceux qui, pendant ce conflit, sont allés spontanément apporter leur soutien d’une manière ou d’une autre aux grèvistes.

 

Ces derniers se sont battu pour nous tous. Ils ont ouvert une voie. Charge à nous tous de la poursuivre.

 

 

 

Déclaration de Pierre Laurent,
secrétaire national du Parti communiste français,
président du Conseil national de campagne du Front de gauche

Paris, le 22 avril 2012

 

 

Et maintenant, Sarkozy dehors !

 

 

 

Pour toutes celles et tous ceux qui aiment notre pays, qui, depuis cinq ans, ont durement souffert de la politique de Nicolas Sarkozy, souffert de la voir affaiblir, appauvrir, abîmer la France, les résultats (connus à cette heure) du premier tour de l'élection présidentielle résonnent comme un appel à tout mettre en œuvre pour battre le président sortant.

 

Comme on le redoutait, le score du Front national peut servir de réservoir au candidat Sarkozy. Le président sortant, en recul par rapport à 2007, peut être battu le 6 mai prochain.

 

Le second tour mettra aux prises, pour la droite, Nicolas Sarkozy, pour la gauche, François Hollande, le candidat socialiste que le suffrage universel a placé en tête. La droite doit maintenant subir une large défaite. C'est la nouvelle et prochaine étape indispensable de la révolution citoyenne que nous avons entamée.

 

À gauche, les près de 12 % et quelque 4 millions de voix crédités au candidat commun du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon représentent un score inédit et un événement de cette élection, comme l'a été notre campagne, une campagne dont se sont emparé des centaines de milliers de femmes et d'hommes, et de jeunes dans tout le pays. Le peuple combattant, la gauche du courage et de l'engagement sont de retour, et dans leur sillage, l'espoir de changer la vie, d'ouvrir un autre avenir à notre pays, la France, et du même coup à l'Europe.

 

Je veux saluer toutes les électrices et tous les électeurs qui ont porté leur choix sur le bulletin de Jean-Luc Mélenchon, et le programme du Front de gauche qu'il représentait.

 

Je veux remercier du fond du cœur toutes les militantes et tous les militants communistes et du Front de gauche, toutes celles et tous ceux, quelle que soit la forme de leur engagement, qui ont su donner corps à cette espérance et rendu possible ce résultat.

 

Au nom du Parti communiste français, j'appelle au plus large et au plus fort rassemblement possible de toute la gauche, de tout notre peuple, pour battre Nicolas Sarkozy, en votant pour le candidat socialiste François Hollande. La défaite du président sortant devra être ample, claire et nette, et nous y mettrons toutes nos forces.

 

Tout doit être fait pour empêcher la réélection du candidat de l'UMP et du Medef, qui n'a pas hésité sur bien des points à reprendre à son compte le programme du Front national. La droite et l'extrême droite ne passeront pas. La France ne mérite pas cinq années supplémentaires de ce cauchemar.

 

Combattre et mettre en échec les idées xénophobes et racistes de Marine Le Pen demeurent d'une brûlante actualité. Le Front de gauche est fier du travail qu'il a entamé, bien seul dans cette campagne, pour faire reculer les idées du FN. Nous allons l'amplifier dans les élections législatives à venir. Aucun député de ce parti ne doit être élu à l'Assemblée nationale.

Le PCF, le Front de gauche, vont continuer à rassembler autour des choix qu'ils ont portés dans cette campagne. Nos propositions pour mener une audacieuse politique de gauche sont disponibles ; elles sont de nature à sortir le pays de la crise en tournant le dos à l'austérité et en reprenant le pouvoir aux forces de l'argent.

 

C'est le cas de l'augmentation du SMIC et des salaires, du retour immédiat de la retraite à 60 ans à taux plein pour tous, de l'interdiction des licenciements boursiers. C'est le cas d'une réforme de la fiscalité, de la création d'un pôle public bancaire et financier. C'est le cas de l'exigence de soumettre à ratification du peuple français tout nouveau traité européen, renégocié ou non.

 

Le PCF, Le Front de gauche mobiliseront le pays dans les semaines à venir pour donner plus de poids encore à ces propositions, pour faire élire une majorité de gauche à l'Assemblée nationale, avec le maximum de députés du Front de gauche.

 

La France aura besoin de députés courageux pour abroger sans tergiverser les lois Sarkozy, pour en élaborer et en voter de nouvelles qui constituent de réelles conquêtes politiques, sociales et économiques en faveur des travailleurs. Les députés du Front de gauche seront porteurs à l'Assemblée du mouvement de mobilisation citoyenne qui a surgi au cours de cette campagne électorale.

 

Le 6 mai prochain, la victoire de la gauche est à portée de main. Elle sera complète à l'issue des élections législatives avec la confirmation de la place du Front de gauche dans la nouvelle vie politique française.

 

La campagne électorale et le résultat du Front de gauche et de son candidat commun, Jean-Luc Mélenchon, prouvent que le peuple de France et que les peuples européens ne sont pas condamnés à subir la loi des marchés capitalistes.

 

Un autre chemin est désormais ouvert.

 

J'appelle les millions de citoyens qui ont commencé à l'emprunter avec nous à poursuivre la route, à investir le Front de gauche, les assemblées citoyennes, les fronts de luttes, de propositions et d'action que nous avons créés. Faites-en votre affaire, pour réussir le changement auquel notre peuple aspire.

Tarnos (en %) :  Hollande 31,4 Mélenchon 22,21  Sarkozy 17,4 Le Pen 13,33 Bayrou 9,55.  Les autres en-dessous de 2,5.	Ondres :  Hollande 32,75 Sarkozy 21,69 Mélenchon 14,21  Le Pen 13,97 Bayrou 11,58 Les autres en-dessous de 2,5.
Saint-Martin de Seignanx : Hollande 33,04 Sarkozy 22,34 Le Pen 14,22 Mélenchon 13,22 Bayrou 12,22 Les autres en-dessous de 2,5.	Saint-André de Seignanx : Hollande 32,3 Sarkozy 23 Mélenchon 15,9 Le Pen 14,2 Bayrou 8,3  Les autres en-dessous de 2,5.
Saint-Barthélémy : Hollande 35,62 Sarkozy 23,23 Mélenchon 15,04 Le Pen 14,82 Bayrou 7,96 Les autres en-dessous de 1,5.	Biaudos : Hollande 28,83 Mélenchon 22,81 Sarkozy 17,15 Le Pen 13,14 Bayrou 12,04 Les autres en-dessous de 2.
Saint-Laurent de Gosse : Hollande 32,33 Sarkozy 23,84 Le Pen 13,97 Bayrou 12,88 Mélenchon 10,14 Les autres en-dessous de 2,7.	Biarrotte : Hollande 46,89 Mélenchon 22,03 Le Pen 12,43 Sarkozy 10,17 Bayrou 5,08 Les autres en-dessous de 2,2.

 

Article de Sud-Ouest du 15 avril 2012. Par Thomas Longue.

Retrouvez l'article dans son contexte original ainsi que les photos de Le Doedic David ici : http://www.sudouest.fr/2012/04/15/pau-entre-4000-et-6000-personnes-avec-jean-luc-melenchon-688911-4344.php

 

Le candidat du Front de gauche a réclamé que le groupe Total se consacre à l'exploitation des énergies nouvelles

 

 

A Pau, ville dont son directeur de campagne, le communiste Olivier Dartigolles, est conseiller municipal, Jean-Luc Mélenchon a réuni cet après-midi plusieurs milliers de personnes (6 000 selon les organisateurs). La pluie jusqu'alors abondante s'est quelque peu calmée vers 14 h 30, pour les prises de parole, sur la place Royale rebaptisée "place au Peuple" pour la circonstance. Une plaque à ce nom a été dévoilée au terme du discours d'une heure environ prononcé par le candidat du Front de gauche.

 

A une semaine du 1er tour de l'élection présidentielle, Jean-Luc Mélenchon a exhorté chacun à faire pleinement usage de sa liberté, rappelant les lignes forces de sa "révolution républicaine". Il a interpellés les catégories sociales bénéficiant de "bons salaires" qui se croiraient à l'abri des difficultés auxquelles sont actuellement confrontées les couches populaires : "Quelle que soit votre classe sociale, vous ne pouvez pas échapper à l'humaine condition que nous avons en commun".

 

L'orateur a consacré un chapitre très incisif contre les médias, "Le Nouvel observateur" et "L'Express" étant particulièrement visés pour leurs dernières initiatives éditoriales, des médias qu'il veut "libérer en poussant à la révolution citoyenne dans les rédactions".

 

On attendait ses déclarations à propos du groupe Total, dont Jean-Luc Mélenchon réclame la nationalisation. "Le voici qui se retire d'ici en n'assumant aucune responsabilité". Pour l'orateur, la privatisation du groupe pétrolier, entre autres celles ayant concerné le secteur de l'énergie, s'est avérée un échec : "Qu'est-ce qui marche mieux depuis qu'on a privatisé ? Rien ! Jamais on n'a vu autant de gens privés d'électricité, alors que la France a créé le plus grand réseau de toute l'Europe". Sur le terrain environnemental, explorant les potentialités des énergies alternatives nouvelles, énergie marémotrice, géothermie : "Total sait faire ça ! Ils savent faire des trous, ils savent faire des relevés cartographiques, alors au boulot !"

 

"La Marseillaise" puis "L'Internationale" ont résonné au terme du discours

 

Vendredi	23/3	20:30	Assemblée citoyenne	Ondres, salle Capranie
Samedi	24/3	10:00 + repas	Rencontre de l’Humanité, avec Appel-Müller	Perquie
Mardi	27/3	18h	Assemblée Citoyenne sur L’utilisation de l’argent public	Dax, Salle des Halles n°1
Vendredi	30/3	20:30	Assemblée Citoyenne	Capbreton, Allées Marines
Mardi	3/4	20:30	Assemblée Citoyenne	Labenne, salle du Château d’eau
Mercredi	4/4		Réunion ruralité avec L. Levrard et Girardi	Mugron
Jeudi	5/4	20:30	Assemblée Citoyenne	St-Martin de Seignanx
Dimanche	15/4	13:30	Jean-Luc Mélenchon en meeting à Pau	cf ci-dessus
Dimanche	22/4		1er tour présidentielle
Dimanche	6/5		2ème tour présidentielle
Dimanche	3/6	12:00	Repas de la section de Tarnos	Tarnos, espace Duclos
Dimanche	10/6		1er tour législatives
Dimanche	17/6		2ème tour législatives

 

 

  Le principe d'une assemblée citoyenne est très simple.  Lors d'une réunion traditionnelle, un intervenant fait d'abord un exposé plus ou moins long sur un thème plus ou moins large, auquel le public réagit.   Lors des assemblées citoyennes, nous expliquons pendant quelques minutes ce qu'est le Front de gauche, avant de projeter un ou deux petits films animés de quelques minutes éclairant l'actualité. Ensuite, nous nous plaçons tous en cerle dans un esprit d'égalité, et tous ceux qui veulent s'exprimer, proposer, intéroger le font. Chacun est libre de répondre ou de réagir. Ainsi, les débats sont chaque fois très différents, à l'image de ce qui préoccupe ou intéresse les participants, et prennent parfois des directions très originales. Il n'y a jamais de temps mort. Tout le monde y apprend quelque chose, et lorsque l'assemblée se termine, on s'informe vite de la date de la suivante.   Bienvenue à tout le monde !   

"Notre système d'intégration fonctionne de plus en plus mal car nous avons trop d'étrangers sur notre territoire et que nous n'arrivons plus à leur trouver un logement, un emploi, une école".   Tels sont les propos scandaleux de Nicolas Sarkozy lors de son dernier passage télévisé.   Associés à ceux de son ami Claude guéant qui lui, considère que le droit de vote aux étrangers pourrait amener des futurs conseillers municipaux à intégrer de la viande halal dans les cantines...   Ne nous y trompons pas, en flirtant avec la pensée néo libérale xénophobe, Nicolas Sarkozy veut une fois de plus amener vers lui un électorat d'extrême droite, avec des propos qui consistent à opposer les citoyens de notre pays les uns aux autres et à tromper le peuple sur les véritables causes du désastre économique et citoyen que nous vivons actuellement partout en France et en Europe.   Mais Monsieur Sarkozy, cette France que vous vous vantez de défendre, est la France des droits de l'homme et du citoyen.   C'est  une France où le partage et les valeurs humaines doivent primer sur le capital et la finance .   Ce ne sont pas les étrangers qui génèrent le mal logement, qui prennent l'emploi des français et empêchent les  enfants d'aller à l'école.   Ce sont bien vos méthodes et votre politique ultra libérale, qui consiste à supprimer à tour de bras les emplois, et faire voter  au niveau européen des mesures contre l'austérité qui mettent les peuples à feu et à sang .   Pendant ce temps les banques et les actionnaires,  continuent d'engranger des milliards d'euros, et nous, le peuple d'en bas, on crève de faim, et on a soif de révolution citoyenne, justice sociale et de fraternité entre les hommes.   Ne nous trompons pas de combat les amis !   Jean Luc Mélenchon dans son meeting de Rouen nous le dit avec force : ce n'est pas l'immigré que l'on doit combattre, c'est le banquier !!!!! L''égalité des chances, c'est le droit de ne pas dépendre exclusivement de la chance, ni de la malchance.   C'est le droit égal, pour chacun, de faire ses preuves, d'exploiter ses talents, de surmonter, au moins partiellement, ses faiblesses. C'est le droit de réussir, autant qu'on le peut et qu'on le mérite. C'est le droit de ne pas rester prisonnier de son origine, de son milieu, de son statut. C'est l'égalité, mais actuelle, face à l'avenir. C'est le droit d'être libre, en se donnant les moyens de le devenir. C'est comme une justice anticipée, et anticipatrice : c'est protéger l'avenir, autant que faire se peut, contre les injustices du passé, et même du présent."    Ne nous prenez pas pour des imbéciles, Monsieur Sarkozy, nous voyons clair dans votre jeu.   Le racisme, ce n'est ni plus ni moins qu'une histoire d'éducation. Nul doute que vous ayez bien besoin que l'on vous donne quelques leçons sur le sujet.  

A Saint-Vincent de Tyrosse, le vent de la révolution citoyenne souffle.   Le message envoyé par les 80 facteurs et leurs soutiens réunis ce jeudi 16 février pour protester contre les suppressions de postes ne pouvait être plus clair. Suppression de tournées et d'emplois, surcharge de travail entrainant toujours plus d'heures non rémunérées, conditions de travail qui se dégradent à vue d'oeil : trop, c'est trop !     De tout le sud des Landes, les postiers étaient venus dirent leur ras-le-bol autour d'un casse-croûte convivial. Jean-Marc Lespade avait répondu présent pour leur apporter son soutien plein et entier. Devant le succès de la mobilisation, une manifestation spontanée a été organisée jusqu'au centre de distribution. Pendant qu'une délégation rencontrait le directeur du centre, dehors, les manifestants rappelaient que dans l'ensemble des services publics comme dans les privées, les conditions de travail et les acquis sociaux étaient attaqués, sous de faux prétextes, la même logique s'appliquant en réalité partout au détriment du service rendu : plus de profit, plus de profit, plus de profit.   Il est temps de remettre l'Humain d'Abord !   Extrait de notre programme pour le service public :  UN PACTE POUR UN NOUVEL ESSOR DES SERVICES PUBLICS Les services publics doivent satisfaire les besoins des populations et l’intérêt général. Ils doivent donc être préservés de toute soumission à des intérêts privés comme aux marchés financiers. L’éducation, la santé, la protection sociale, la recherche, l’énergie, l’eau, les transports, les télécommunications, le crédit, le logement, la Poste, la sécurité et la justice seront protégés comme notre patrimoine commun car ils assurent les conditions de l’égalité et de la citoyenneté. Nous ferons nôtres les objectifs du Pacte pour les services publics, adopté aux États généraux de janvier 2011, fondé sur le principe d’appropriation sociale, d’égalité et de solidarité, de reconquête du bien commun par le peuple dans le plein exercice de sa souveraineté et sur l’ambition d’un développement humain durable. Nous reconstruirons et développerons nos services publics. La RGPP qui les démantèle sera abrogée, les postes qui répondaient aux besoins collectifs et ont été supprimés par la droite seront tous rétablis. Pour que l’accès égal de tous y soit garanti, nous maintiendrons et reconstruirons les services publics de proximité et réviserons les tarifs, en appliquant le cas échéant la gratuité. http://www.pcf.fr/sites/all/themes/lacommune/images/fond_citation.png); background-attachment: scroll; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #eeeeee; font-size: 15px; font-style: italic; padding-top: 10px; padding-right: 15px; padding-bottom: 10px; padding-left: 15px; background-position: 5px 5px; background-repeat: no-repeat no-repeat; margin: 20px;">La révision générale des politiques publiques (RGPP) Menée sous couvert de « responsabilité » et de « rationalisation », la RGPP est une terrible entreprise de démantèlement et d’application des normes du privé à la fonction publique. Mise en place en 2007 et poursuivie chaque année depuis, elle va du plus voyant (principe du nonremplacement d’un fonctionnaire sur deux ; embauche de salariés précaires en dehors des concours de la fonction publique ; logique managériale de gestion des universités à travers la loi LRU – voir encadré p. 79) au plus sordide (réduction de l’hébergement d’urgence, superprimes accordées aux préfets ou aux recteurs en fonction des postes supprimés). La RGPP dégrade le service rendu aux usagers, prive des territoires sinistrés de services publics et provoque de graves souffrances chez les personnels (multiplication des suicides). Nous développerons et créerons des services publics, définis démocratiquement par les citoyens, les salariés et leurs élus, assurant une répartition des richesses qui doit permettre l’effectivité des droits, et financés par une fiscalité juste et redistributrice, une taxation des revenus et des actifs financiers, la taxation des revenus du patrimoine ainsi que la suppression des exonérations de cotisations sociales patronales et des niches fiscales qui, aujourd’hui, profitent aux hauts revenus et aux grandes entreprises. Les moyens des services publics seront renforcés avec des financements dégagés de l’emprise des marchés financiers pour leur permettre de remplir leurs missions au service de l’intérêt général, en dehors de toute contrainte de rentabilité financière. Des critères d’efficacité sociale seront établis démocratiquement en li eu et plac e des critères marchands. La délégation de service public sera strictement encadrée. Il sera créé un nouveau statut d’Établissement public local citoyen inspiré des Epic. Ils seront dirigés par les collectivités, les salariés et les usagers. Les directions des entreprises publiques qui se sont acharnées à introduire la logique privée au détriment de l’intérêt général seront remplacées par des cadres compétents et attachés au service public. Les méthodes managériales inefficaces et cruelles introduites dans les services publics au détriment des salariés et des usagers, conduisant à une dégradation sans précédent des conditions de travail et de service jusqu’au drame, seront abandonnées. Nous étendrons et augmenterons la place des représentants du peuple dans la gestion des services publics. Les secteurs confiés au service public seront protégés de la libéralisation des marchés et de leur mise en concurrence. Le monopole public sera rétabli là où l’intérêt général le commande. Au plan européen et mondial, nous agirons pour le développement de coopérations publiques solidaires afin d’étendre et de renforcer les services publics : leur harmonisation ne pourra se faire que par le haut. Nous reviendrons notamment sur la directive « Services » (dite « Bolkestein ») et nous stopperons toutes les libéralisations entreprises notamment dans les secteurs du rail, du courrier et de l’énergie. De nouveaux services publics seront créés et développés, en particulier dans le domaine de la petite enfance. Un service public de l’information et de la culture, soustrait du pouvoir de l’argent et des pressions politiques, sera le garant du pluralisme et de l’exercice de la citoyenneté L’État garantira l’accès de chacune et de chacun à la pratique sportive de son choix tout au long de la vie. Il donnera au mouvement sportif les moyens de l’accomplissement de ses missions de service public.   Pour connaître l'ensemble de notre programme, cliquez ici !  

 

Austérité et autoritarisme. Voilà ce qui nous attend, si nous ne résistons pas et si nous n’empruntons pas une autre voie, alternative, celle de « L’Humain d’Abord ».    Ce programme, élaboré par le bas, avec tout ceux qui ont voulu y contribuer, communistes ou non, est porté par le Front de Gauche et son candidat, Jean-Luc Mélenchon. Ce projet s’est déjà vendu à plus de 280.000 exemplaires, surprenant les libraires. Il est résolument engagé pour un changement de société, notamment en reprenant le pouvoir aux marchés financiers et à ses divers soldats pour le rendre au Peuple.    Non, ce n’est pas un énième «sommet de la dernière chance» piloté par le tandem Sarkozy-Merkel qui nous sortira d’un capitaliste à bout de souffle. Au contraire, ils viennent tout simplement de confier à la Commission européenne (instance non élue) le pouvoir de décider des contenus des budgets des états, avec comme fil directeur leur fameux «règle d’or» déjà présente dans le Traité de Lisbonne, et qui a mené à la situation que nous connaissons.    Autrement dit : c’est une régression sociale généralisée d’une grande brutalité, où l’on arrache au peuple tout cet argent qui est le sien pour mieux gaver des banquiers. Pourquoi ? Pour qu’ils puissent mieux le jouer en bourse. Et s’ils perdent ? Le Peuple les remboursera, comme à chaque fois dans cette tombola inversée où il perd à chaque fois.   Certains nous disent : « si vous arrivez au pouvoir, vous provoquerez une crise en Europe. ». Et bien oui, mais elle ne sera pas plus grave que celle causée actuellement par nos dirigeants, marionnette des financiers.    Notre programme, c’est par exemple : refuser l’augmentation de l’âge de la retraite, créer de l’emploi, développer les services publics - notamment ceux liés à notre système de santé ou à l’Education Nationale - protéger la sécurité sociale, augmenter les salaires et les pensions, redonner leur autonomie financière aux collectivités locales... et surtout, trouver les moyens financiers d’organiser tout cela, en repensant complètement notre système financier et fiscal. Nous agissons déjà tous les jours en ce sens, militants et élus communistes.   En résumé, pour la solidarité, la justice sociale, les coopérations, le vivre ensemble, la paix, notre règle d’or, c’est L’Humain d’Abord !  

Toutes les vidéos de la campagnes ici ! (cliquez)  

 

Aujourdʼhui, une petite minorité concentre la richesse et le pouvoir. Il est temps quʼune révolution citoyenne rende le pouvoir au peuple et permette! à chacun dʼavoir une vie plus humaine. Cʼest ce que défendent les candidats du Front de Gauche Jean- Luc MÉLENCHON pour la présidentielle, Jean-Marc LESPADE (Maire de Tarnos) et Hélène COUSSEAU (Avocate à Dax) pour les législatives. Membres de partis différents ou sans appartenance politique, militants syndicalistes, associatifs et citoyens, nous étions ensemble lors du referendum de 2005 pour faire gagner le non à lʼEurope libérale. Depuis, nous nous retrouvons régulièrement pour défendre les services publics, lʼemploi, le pouvoir dʼachat les retraites, les droits et libertés... Aujourdʼhui, le Front de Gauche est devenu la deuxième force politique de gauche du pays. Il rassemble 7 organisations autour dʼun véritable projet. Cʼest une situation porteuse dʼespoir. Nous avons décidé de lui apporter notre soutien. Place au Peuple !   Je rejoins le comité de soutien :

FONTENAS Pierrette

PENA-RUIZ Henri

MAYE André

NOGARO Isabelle

PEDUCASSE Sylvie

NEGUI Yan 

PERDUCAT Jean Charles

MAYET Céline

LEDUN Marin

BAULON Gisèle

MONTAUCET Geneviève

GILBERT Jack 

FONTENAS Alain

GONZALES Marie-Christine

LABROUSSE Nicole

GOUARDES Louis

MEUNIER Jo

LABERTIT Michel

BISBAU Françoise

DESTENABE Fusilha

GOUBERT Claire

BONNET Georges

BISBAU Suzy

MORA Sandra

RAVETON Christine

CASTERA Cathy

DUBERT Francis

GILLET Jacques et Ania

LESPADE Pierre

GONZALES Christian

BACHÉ Alain

DANGOUMAU Pierre

PINSOLLE Philippe

PINSOLLE Josiane

ALBANO Gérard

TREILHAUD Christine

LASSERE Bruno

CHASTRUSSE Christine

BILLOT Jacques

MALDONADO Michèle

CLAUDE Laurent

RIVIÈRE Daniel

MARTINEZ Francis

LEMONNIER Véronique

FERREIRA Céline

LALANDE Julien

LALANDE Laëtitia

BOUVIER Yann

GARIE Vincent

LARRIGADE Sosy

LARRIGADE Guy

DESTRIBATS Dominique

DARRIET Michel

ETCHEGARAY Pierre

HOMÈRE Françoise

CARREY Christophe

BROUSTAU Frank

MELOU Francis et Jackie

DARRICAU Denis

SERRA André

PEDETERT Geneviève

GUILLERM Liliane

DEUBEL-DESTOUESSE Danielle

KIEFFER Georgette

LASTRA Carmen

GALLEGO Carlos

ROUX Suzanne

PLASSIN Michel

ARLAS Marie-Claire

ETCHEVERRY Christelle

ALQUIER Estelle

VIGNES Jacques

POCHULU-MENDY Christiane

LIBIER Maïté

LIBIER Jean-Claude

LABEYLIE René

PEHAU Pierre

MEDIAVILLA Christelle

PEDELUCQ Marie-Paule

LEMONNIER Jacqueline

LEMONNIER Michel

DOMET Charles

DOMET Christine

FERREIRA Jules

DUPLE Christiane

COUET Jean-Noël

LECOINTRE Frédéric

FERREIRA Roger

COUGET Marie-Blanche

NAZABAL Cyril

MIREMONT Odette

DARRICAU Denis

PERRET Alain

DUCASSE Guy

MENANTEAU Yazmin

BASDEVANT Elsa

ETCHEGARAY Rodolphe

REAU Christian

LABOORDETTE Marc

VOISIN Jeanne

NADEAU Bernard

LAPEYRE Albert

FAURE Jean-Charles

POULIQUEN Pascale

CAZALOU Christian

BRISE Gérard

CARREY Julie

TSHIBELU-KATANGA Jean-Claude

VERDIER Danièle

VERDIER Patrick

GAY Martine

TREILHAUD Marion

MARTIN-GUALDE Véronique

DACHARRY Martine

DACHARRY Caroline

DACHARRY Aurélie

DACHARRY Michel

NAVARRO Jean

TOUSSAINT Lise

COUTÉ Philippe

SALLABERRY Thierry

VALVERDE Christian

VIAL Maryse

VIAL Jean-Louis

LARREGAIN Jean

DAUPHIN Sylvie

DAUPHIN Jean-Claude

CRESPO René

VALERY Lore

FERNANDEZ Manuel

BAUDOUIN Alain

AUDY BAUDOUIN Christiane

DANGOUMAU Patrick

MESPLEDE Alain

VILLEGAS David

CAZAUX Jean

CARRERE Francis

SALHORGNE Daniel

PLENT Sabine

PAUL Nicole

CAPDEVILLE Jean-Noël

LESPERON Vincent

LAHILLE Catherine

VERDIER Jos

SAINT-MARC Danielle

TAPIAU-DANGLA Arlette

SOURIGUES Alain

DAUGREILH Patrick

BOISSIER Alain

LEMOIGNE Jean-Louis

SOURIGUES Jean-Luc

URQUIA Eloïse

MAN Patrick

DUBOURDIEU Françoise

DUBOURDIEU Jean-Marc

ALFONSO Eric

ALQUIER Bernard

BACH Jean-Pierre

BENAC Sylvie

BONNEAU Franck

BORTOLUCCI Georges

BRUNEAU Marc

LASSALLE Michel

LARRAT Michel

DUCASSOU Gilbert

CORRIHONS Jacques

ESCAFFRE Elodie

AGUER Marie-France

BENQUET Jacky

CASTAY Yves

COURALET Albert

BORTOLUCCI Simy

BOUILLET Hervé

DELEST Dominique

DUMORA Géraldine

GAILLARD Michel

GOUJAT Jean-Claude

INGREMEAU Gilles

LABAT Arlette

LACAZE Christiane

LACAZE Emmanuel

LALUQUE Georges

LASSALLE Marcelle

LOUBEYRE Isabelle

LUCAS Marie-Jo

MONFERRAN Corinne

PACHECO-BRUNO Roland

PILON Pascal

RANCINAN Guy

RANCINAN Paulette

RICHE Eric

SARCIAT Hervé

SUARES Nathalie

THOMAS Elisabeth

VILLETORTE Serge

DECRIEM Bruno

MEYZE Claude

BONNET Michel

BRETHES Hubert

LAMA Angel

CLOUTOUR Alain

BIREMONT Daniel

BREGEON Rémi

FEYDEL Maurice

DUPART Patrick

DUCOUT Jacques

FERRIERE Serge

LABROUCHE Christine

LAFFARGUE Alain

NAVARRE Brigitte

SAAVEDRA MARTA Alicia

AZEMA Bernard

BADET Gilbert

BATTEUX Roger

BORDESSOULLE Jean-Pierre

DUBRANA Bernard

KHAKHOULIA Françoise

LEBRIS Thierry

SOURBE Jean-Luc

DELPONT Hubert

GALAN Victor

GALAN Annie

MAIGNAN-NICOL Cyril

MISSEFORT Olga

DARRIEUTORT Vincent

LAFITTE Bernadette

RUIZ Emile

MECA Michèle

BERLON Jean-Louis

CURCULOSSE Bernadette

MAGESCAS Bernard

LAHOUN Yves

DUPRAT Christian

TECHER Philippe

DESCAT Chantal

DARTIGUELONGUE Jean-Pierre

BAILLET Clément

KERFORN Gérard

DODOUS Sophie

ARRESTAT Yves

LOPEZ Mireille

ELISSALDE Martine

ECHEVERRIA Santos

MATEU Michel

DIMULE Pierre

LABORDE Marie-Christine

LABORDE Joseph

PEBORDE Jean-Marc

CABIRO Béatrice

LABAT Claude

ETCHECOPAR Bernard

DARBOUCABE Eric

DARBOUCABE Aline

PONDEPEYRE Yves

PEYRES René

ETCHECOPAR Monique

HAREIM Jacques

DOMECQ Alexis

DOMECQ Simone

MIREMONT Jean

SERAC Jean-Claude

ABART Jean-Jacques

LACLAU Robert

CARTY Luce

PINAQUY Josette

ARRIEULA Jean

LABEGUERIE Roger

DESTOUESSE Henri

MARCADIEU Jean-Baptiste

MARCADIEU Mme

LAMOTHE Hubert

DA SILVA Joël

PRUDET Jean

DUFAUR DE GAVARDIE Bernard

PRUDET Yvonne

DUSSARRAT Jean

DUSSARRAT Lucette

HONTANG Yves

SIBERCHICOT Marinette

LABASTUGE André

CLAVE Jean-Pierre

LE LOIREC Luce

CLAVE Nina

CLAVE Carine

CLAVE Laurent

ROUX Jean-Pierre

BORDA Anne-Marie

DESTRUHAUT Maryse

LESPADE Jean

LESPADE Marie

ROCCHIA Paulette

ROCCHIA Roland

GUILLEMIN Bernard

GUYARD Nicolas

BEAUGILLET Jean-Paul

PECASTAING Alain

REVAUX Jean

CARRERE MEVEL Claude

CAZAUX Muguette

CORRET Maryse

SAINT-GERMAIN Jean-Pierre

BARSACQ Bernadette

DELAVOIE Damien