Section Tarnos - Seignanx

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Pétition contre la réduction des horaires de La Poste de Tarnos-Plage !

 

La Direction de la Poste projette de réorganiser ses services à compter du deuxième semestre 2013 et de fermer le bureau de poste de TARNOS-PLAGE les après-midi du lundi au vendredi et les samedis matins.

 

Cette décision locale repose sur des critères nationaux de gestion défini par l'entreprise privilégiant la rentabilité et le court terme que le service public qui lui est confié. Au lieu d'opérer les recrutements qui s'imposent (files d'attentes parfois inacceptables et même des bureaux occasionnellement fermés faute de remplacement des personnels absents), la Poste est amenée à réduire son service.

 

C'est une nouvelle attaque portée contre le service public de proximité !

 

Dans ce quartier de notre ville, de nombreux arguments plaident pour le maintien des horaires d'ouverture du bureau de poste :

  • une population importante et souvent fragilisée par l'âge, qui ne peut pas toujours se déplacer au bureau du centre-ville
  • une zone industrielle accueillant de nombreuses entreprises
  • une fréquentation importante durant la saison estivale du fait de la proximité de la plage du Métro. 

Avec le Collectif de la Poste à Tarnos (CSF, CGT FAPT, Indecosa CGT, Union loclae CGT Boucau-Tarnos, PCF, PS) :

 

  • nous affirmons que la Poste exerce des missions de service public qui imposent une proximité avec les usagers,
  • nous protestons contre l'utilisation des salariés et des usagers de la Poste comme variable d'ajustement pour « rentabiliser » l'entreprise,
  • nous nous opposons au projet de la Poste de réduire les horaires d'ouverture du guichet de la Plage et de tout autre bureau de poste de la commune

Mobilisation contre la réduction des horaires du bureau de Poste de Tarnos-Plage !

 

La Direction de la Poste projette de réduire les horaires d'ouverture du bureau de poste de TARNOS-PLAGE en le fermant tous les après-midi ainsi que le samedi matin.

 

Une décision injuste et inefficace

 

Cette décision découle de la stratégie définie nationalement par l'entreprise. Le profit et la rentabilité immédiats sont les seuls objectifs que se fixe La Poste au mépris de sa mission de service public, de l'avis de ses usagers et du bien-être de ses salariés. La diminution de plus de moitié (!) des horaires d'ouverture du bureau de Tarnos-Plage se traduira inévitablement par une baisse de la qualité du service et par une réduction du nombre d'usagers sur le long terme. Réduire l'accès, c'est donc augmenter les problèmes que peut rencontrer un bureau de poste et non les résoudre ! Le bureau de poste de Tarnos-Plage assure également un service de proximité auprès de nombreuses personnes âgées ou à mobilité réduite. Pour toutes ces raisons, il est utile aux Tarnosiens et ses horaires actuels nécessitent d'être maintenus.

 

Le rassemblement le plus large pour une action efficace

 

Le Collectif de défense de la Poste à Tarnos, qui depuis ses premières actions menées en 1999 pour la défense de ce même bureau de Tarnos-Plage, lutte pour le maintien d'un service public de qualité et est à l'initiative d'une pétition à faire largement circuler. Il s'agit de montrer sa solidarité aux salariés du bureau de Tarnos-Plage confrontés à une situation difficile et de défendre l'existence de ce bureau de Poste menacé dans son existence même.

Avec le collectif et les signataires de la pétition, nous appelons à poursuivre et amplifier le rassemblement et la mobilisation pour obtenir des engagements précis et formels de la Direction départementale de la Poste. Elle doit maintenant répondre aux exigences de ses usagers!

 

 

Pour la défense du bureau de poste de Tarnos-Plage et pour le maintien de ses horaires, nous appelons à un large rassemblement le JEUDI 13 JUIN 2013 à 11h00 au bureau de la « Rue de la Nouvelle Poste » à côté de la CAF de Bayonne (entre les allées marines et le boulevard du BAB)

Départ en covoiturage de Tarnos : rendez-vous en face de la mairie de Tarnos à 10h30.

 

Par le Collectif de Défense de La Poste à Tarnos (CSF, CGT FAPT, Indecosa CGT, Union loclae CGT Boucau-Tarnos, PCF, PS)

 

 

Hommage à Clément Méric à Bayonne

Hommage à Clément Méric à Bayonne

 

Ce samedi 8 juin, malgré la pluie battante, 150 à 200 personnes s'étaient rassemblées pour rendre hommage à Clément Méric.

 

Clément Méric, antifasciste, étudiant de Sciences Po où il militait au syndicat Sud a été tué hier en plein Paris par un groupe de militants d’extrême droite manifestement du Groupe JNR (Jeune Nationaliste Révolutionnaire). Violemment frappé au sol il a été déclaré en état de mort cérébrale à l’hôpital Salpêtrière.

Le Front de Gauche  est triste et en colère devant le meurtre politique de ce jeune de 18 ans. Il adresse ses condoléances à sa famille et ses camarades.

Le Front de Gauche s’adresse au Ministre de l’Intérieur pour que les forces de police retrouvent rapidement les responsables de cet assassinat. Le FDG exige la dissolution des Groupes d’extrême droite qui multiplient les actes de violence et affichent avec de moins en moins de retenue la haine raciale et leurs convictions fascistes à Paris et à travers le pays depuis plusieurs semaines. Nous dénonçons le climat malsain qui voit la banalisation des idées d’extrême droite jusqu’au renvoi dos à dos de partis se réclamant de cette famille politique avec des forces démocratiques et antiracistes.

 

Salle comble pour la Soirée Rouge

Ce vendredi 17 Mai, la salle Maurice Thorez à Tarnos était pleine à craquer !

À l'initiative de jeunes communistes des Landes et de la Côte Basque, 300 spectateurs sont venus assister à un One Man Show plein d'humour, très pertinent sur la vie politique, proposé par Didier Porte.
 
Un très beau succès pour cette 1ère Soirée Rouge qui n'aura pas laissé indifférent !
 
Merci à tous !
 
 
 

Tarnos : Une banderole sur l'Hôtel de Ville

 

Tarnos : Unanimité du conseil municipal pour exiger des moyens pour les collectivités !

C'est ce qui s'appelle finir l'année en beauté : un conseil municipal unanime pour dire ses fortes inquiétudes à l'annonce des mesures d'austérité imposées au collectivités locales à partir de 2013 et pour exiger du gouvernement de mettre en place une réforme de la fiscalité locale qui leur permettent de répondre aux besoins des populations.

 

« Le Conseil Municipal, entendu son Président,

  •  Est conscient d’une situation de crise gravissime, ainsi que des dégâts causés par une économie qui, depuis longtemps, a donné la priorité aux actionnaires au mépris de l’intérêt général et qui ne peut être redressée que par un effort juste.

  • Soutient le rôle important de la commune dont la proximité avec les habitants en fait un élément clef de la démocratie citoyenne ;

  • Exprime sa grande inquiétude quant aux orientations annoncées en matière de finances publiques locales et ses craintes, si elles se maintiennent, de devoir à l'avenir opérer des restrictions en matière de service public local ;

  • Réaffirme sa volonté de répondre aux besoins d'une population grandissante, sur un territoire en pleine transformation urbaine et dans une évolution sociétale qui appelle encore plus de lien social et de service public ;

  • Demande que soit étudiée d'autres sources de financement des collectivités, en particulier une imposition économique lié au territoire en remplacement de l'ancienne taxe professionnelle ;

  • Souligne l'urgence d'une grande réforme de la fiscalité locale, respectueuse de la libre administration des collectivités, élément essentiel d'une vraie décentralisation, et permettant de développer le service public local indispensable à garantir l'égalité et le vivre ensemble.

  • Appelle les autorités nationales à mettre en œuvre un audit citoyen de la dette publique pour définir, de façon concertée les orientations indispensables en matière de finances publiques locales et de réorganisation territoriale. »

 

Les élus communistes et républicains ne se sont pas privés de voter cette motion, en souhaitant s'inscrire dans ce débat par une déclaration spécifique dans laquelle ils affirment leur conviction que, "non seulement l'austérité n'est pas une fatalité, mais qu'au contraire elle ne fait que nous mener vers d'avantage de difficultés économiques, sociales et environnementales, à l'exemple des évolutions connues en Grèce, en Espagne, au Portubal et dans notre pays même" et ils dénoncent "le pacte budgétaure européen qui nous impose ces voies de privation du plus grand nombre alors que les moyens existent de faire autrement et qu'il suffit d'organiser un autre partage des richesses."

 

Pour relayer cet appel et lui donner le retentissement qu'il mérite, une banderole a été apposée au fronton de l'Hôtel de Ville.

 

 

 

 

Que se passe-t-il chez CELSA (ex-ada) ?

 

Les débrayages répétés d'une partie du personnel de l'Aciérie de l'Atlantique à Boucau-Tarnos nous éclairent sur le véritable visage d'une Direction de combat décidée à tout mettre en œuvre pour satisfaire l'avidité de ses actionnaires.

Sont inscrits au programme patronal :

• La dégradation des conditions de travail qui découle d'une production constamment revue à la hausse sans augmentation correspondante des effectifs.

•Le recul du pouvoir d'achat des salariés par une politique restrictive des augmentations de salaires.

• Le cynisme de CELSA-France qui, contrairement à ses déclarations en faveur de la paix sociale, ne fait qu'opposer morgue et mépris à toutes les revendications de ses salariés exprimées à travers les organismes représentatifs du personnel (DP-CE-NAE...).

• La répression tous azimuts à l'encontre des récalcitrants ou contestataires caractérisée par une pluie d'avertissements écrits, de mises à pied, sanctions et de licenciements pour faits de grève.

• Le non respect des statuts et des Conventions Collectives qui doivent être appliqués : Promise maintenant depuis plusieurs années la cession de la manutention portuaire à un prétendu repreneur semble piétiner. La réalisation de cette opération sans cesse reportée serait-elle suspendue à la mise « hors d'état de nuire » préalable des « meneurs » dockers engagés dans la bataille ?...

 

Actuellement, 21 salariés de la manutention portuaire ont saisi le Conseil de Prud'hommes de Bayonne afin que celui-ci annule les avertissements et les mises à pied prononcés à leur encontre par la Direction de CELSA FRANCE. Pour l'un d'entre-eux, déjà licencié de l'entreprise, il s'agit d'obtenir sa réintégration.

L'audience de conciliation était fixée ce lundi 12 novembre 2012.

 

 

 

Réaction à l'arrestation et l'extradition d'Aurore Martin

Réaction à l'arrestation et l'extradition d'Aurore Martin

 

Communiqué d’o. dartigolles, porte-parole du pcf,  01/11/12 

Sitôt arrêtée, lors d'un contrôle routier présenté comme "fortuit",  Aurore Martin a été remise aux autorités espagnoles dans le cadre de l'exécution d'un mandat d'arrêt européen.  Ce que Guéant n'avait pas osé faire, le ministre Valls vient de le commettre. Quelle honte !

Qu’est-il reproché à Aurore ? Sa participation à des réunions publiques et des écrits politiques au titre de son appartenance à Batasuna, un parti interdit en Espagne. Il est insupportable et indigne qu’une personne de nationalité française, militante d’un parti autorisé en France, soit extradée pour des faits eux-mêmes non punissables dans notre pays. Cette arrestation remet en cause un principe essentiel reconnu en France, à savoir le refus d’extradition pour motifs politiques.

Le Gouvernement Ayrault vient d'écrire une page déshonorante pour notre pays. Le Parti communiste exprime son indignation et appelle l'ensemble des républicains à exprimer leur condamnation. Les parlementaires communistes interpelleront le gouvernement pour connaitre les conditions réelles de l'arrestation et de l'extradition immédiate en Espagne d'Aurore Martin.

RASED : entre 150 et 200 personnes ont répondu à l'appel du Maire

Entre 150 et 200 personnes s'étaient réunies ce vendredi 9 mars, à l'appel du Maire de Tarnos (PCF), afin de dénoncer et de protester contre la suppression de 21 postes de RASED dans le département des Landes, sur 46 existants. A Tarnos, c'est le poste de l'école Jean Jaurès qui est clairement menacé, voire déjà condamné. Tout un symbole !

 

Monsieur le Maire, Jean-Marc LESPADE, puis des représentantes des RASED ainsi que de la FCPE ont pris successivement la parole pour affirmer leur refus d'une telle condamnation des enfants les plus fragiles. 

 

Dans la foule, enseignants, personnels ATSEM, territoriaux, parents d'élèves, élèves, citoyens,... ont fait part de leur inquiétude devant ce désengagement supplémentaire de l'Etat dans l'avenir de ses enfants, ainsi que son désinvestissement progressifs mais non moins important des services publics en général.

 

 

Lundi dernier, jour de rentrée scolaire, les élus de la majorité municipale (PCF, PS, Républicains) avaient distribué de l'informations devant les écoles primaires, recevant un accueil chaleureux de la part des parents comme du personnel, tous révoltés par la situation.  Une banderole avait également été posée sur le fronton de l'Hôtel de ville.     Rappelons que dans l'éducation national, 66.000 postes ont été supprimés en 5 ans, dont 14.000 en 2012 ! Les classes sont surchargés et les enseignants ne peuvent plus apporté à tous les enfants l'attention et le soutien qu'ils méritent.    Cela ne peut plus durer.   Pour rappel, voici un extrait de ce que propose le Front de Gauche dans son programme : Chapitre : "Partager les savoirs" Chapitre : "L'émancipation humaine en tête" Chapitre : "L'école de l'égalité"   Voir aussi : la lettre du réseau école du PCF  

Tarnos : les GT en grève pour des salaires dignes

Photo manif

Cliquez ici pour accéder à l'ensemble de notre dossier consacré aux GT Logistic (pour les soutenir, explications, actu...)   Ils sont 48 sur 65 à débrayer depuis le 23 février dernier. GT, entreprise sous-traitante de Turboméca, a déjà connu de nombreux conflits sociaux. Les salariés, dont le travail est reconnu pour sa qualité, sont payés au lance-pierre, et travaillent dans des conditions peu valorisantes. En 2008, ils s’étaient déjà battu pour obtenir une séparation du vestiaire homme de celui des femmes, avaient demandé un accès à de l’eau potable, des locaux plus dignes. La réponse du patron ? «Il est arrivé avec son chéquier personnel, nous proposant une avance de 1.000€ sur nos salaires si on stoppaient la grève.» Les salariés en rigolent encore... jaune.   Et voilà qu’en début d’année, le travail des salariés est apprécié au point de leur faire gagner le marché de Turboméca Bordes, où les travailleurs ont des salaires et des acquis bien plus dignes. Ils touchent le 13ème mois, en moyenne 1€ de plus par heure travaillée,  voient leur mutuelle financée à moitié par l’entreprise, ont droit à des tickets-restaurant, leur ancienneté est reconnue et prise en compte dans le calcul de leur salaire... Les salariés de GT Tarnos, sans rêver obtenir tous ces avantages du jour au lendemain, espéraient tout de même un début d’alignement vers le haut avec leurs collègues.  Nivelement vers le bas. Que nenni ! Pour les patrons, il semble bien que cela représente rien de moins qu’une innommable horreur ! Ils ont donc anticipé et ont créé une nouvelle filiale regroupant les salariés de Bordes, de manière à ce que ceux de Tarnos ne puissent demander les mêmes droits. A Bordes en revanche, les dirigeants se sont engagés, pour réduire les inégalités, à... niveler vers le bas...   «Nous, on est prêts à faire grève pour soutenir nos collègues de Bordes», préviennent les salariés tarnosiens, qui ne veulent pas servir de prétexte à une dégradation du statut de leurs collègues. «Mais cela ne nous empêchera pas de continuer à exiger un coup de pouce sur les salaires, ainsi que la prise en compte de l’ancienneté dans nos revenus, car même lorsqu’on travaille ici depuis plus de 15 ans, on gagne à peine 1.200€ par mois. On ne peut pas vivre avec ça ! Et je ne vous parle pas des nouveaux arrivants qui sont payés au SMIC ! Aucune entreprise n’accepterait de produire à perte. Pourtant, c’est ce qu’elle nous demande en nous payant un salaire ne nous permettant pas de répondre à nos besoins de base». Pour le patron, tous les moyens sont bons pour briser la grève Qu’en dit la direction ? Elle n’a pas encore daigné les recevoir. En revanche, lorsque les salariés l’ont prévenue d’un possible mouvement de grève à venir, des intérimaires ont été embauchés. Officiellement bien sûr, cela n’a aucun rapport. En tout cas, cela tombe drôlement bien pour la direction, qui peut même les faire travailler le samedi sur la base, dit-on, du «volontariat», pendant que les autres font grève.   «Ils ont également fait venir des salariés du GIGT. Vous ne connaissez pas ? C’est le Groupe d’Intervention du GT, s’amusent-ils. Ils ont des logos sur les épaules, et quand ils travaillent vraiment bien, ils ont des palmes qui viennent s’ajouter, en bronze, en argent, en or, juste sous le logo GIGT. Ils étaient également intervenu chez une papeterie, alors que la grève était quasi totale. »    Malgré les efforts de la direction, rien ne semble atteindre la détermination de ces salariés, qui ne demandent rien d’autre que la possibilité de vivre dignement de leur salaire.   Ils ont évidemment tout notre soutien.    

Forte mobilisation des postiers du Sud-Landes : "Du jamais vu depuis 1995 !"

 

A Saint-Vincent de Tyrosse, le vent de la révolution citoyenne souffle. Le message envoyé par les 80 facteurs et leurs soutiens réunis pour protester contre les suppressions de postes ne pouvait être plus clair, ce jeudi 16 février. Suppression de tournées et d'emplois, surcharge de travail entrainant toujours plus d'heures non rémunérées, conditions de travail qui se dégradent à vue d'oeil : trop, c'est trop !     De tout le sud des Landes, les postiers étaient venus dirent leur ras-le-bol autour d'un casse-croûte convivial. Jean-Marc Lespade avait répondu présent pour leur apporter son soutien plein et entier. Devant le succès de la mobilisation, une manifestation spontanée a été organisée jusqu'au centre de distribution. Pendant qu'une délégation rencontrait le directeur du centre, dehors, les manifestants rappelaient que dans l'ensemble des services publics comme dans les privées, les conditions de travail et les acquis sociaux étaient attaqués, sous de faux prétextes, la même logique s'appliquant en réalité partout au détriment du service rendu : plus de profit, plus de profit, plus de profit. Il est temps de remettre l'Humain d'Abord !   Pour nos propositions sur le service public, cliquez ici.

La Poste d’Ondres n’a plus de facteurs !

 

La libéralisation de La Poste continue, pernitieuse, sans état d’âme. La preuve à Ondres, où nous apprenons qu’une réorganisation a eu lieu fin novembre. Conséquence immédiate : plus aucun facteur n’est basé à Ondres. Seul reste un guichet, avec un unique agent. Séparation sous-jacente de la Banque Postale et de la Poste oblige, comme celle des PTT auparavant, cette personne ne pourra plus répondre à tout ce que l’on attend d’une poste.   Quant aux facteurs, ils sont tous regroupés à Tarnos, dans des locaux trop exiguës pour recevoir tant d’activités.    Ceci est d’autant plus grave que les locaux débordent de colis arrivés en masse pour les fêtes de fin d’année, alors que les divers commandes par internet se développent.   Il n’a pas fallu longtemps pour que cette réorganisation ait des conséquences sur l’usager, puisque nos facteurs passent désormais plus tard, offrant au passage quelques heures supplémentaires non rémunérées à leur employeur. Quant aux courrier, il met de plus en plus de temps à arriver chez son destinataire.   C’est intolérable !  

Passage en TPU : pourquoi nous nous y opposons

 

Les villes de Saint-Martin de Seignanx et de Tarnos représentent à elles deux 70% de la population du territoire et 90% des recettes fiscales visées par le passage en TPU. Alors que les réformes du gouvernement mettent à mal les finances de ces deux communes, la Communauté de Communes du Seignanx a décidé contre leur avis de passer en TPU, effectuant ainsi un véritable racket des habitants de ces deux villes, proportionnellement moins représentés que ceux des autres communes (un habitant de Biarrotte est 11,5 fois mieux représenté qu’un Tarnosien). La solidarité à sens unique doit cesser, surtout quand on sait que les revenus des Tarnosiens, notamment, sont inférieurs à ceux de leurs voisins du Seignanx, et que la ville doit désormais se limiter dans ses projets. C’est ainsi 785.000€ par an en moins pour Tarnos, c’est-à-dire déjà, depuis 2010, 1.570.000€ en moins sur le budget de la commune. ♦

Maison de retraite de Saint-André : notre position

 

Le SeignanxCertains ont laissé entendre que les élus PCF étaient opposés à la construction d’une maison de retraite à Saint-André de Seignanx. Ce n’est pas sérieux et c’est de la pure démagogie.

 

En fait, de quoi s’agit-il ?

Pour toute réalisation de ce type, une analyse des besoins sociaux est indispensable. C’est une obligation. Il s’agit de savoir si une maison de retraite, par exemple, qui coûtent 10 à 12 millions à construire, répondrait à un besoin du territoire. Nous avons en tête l’expérience malheureuse d’autres communes qui ont construit une maison de retraite à laquelle l’Etat à refusé d’attribuer du personnel, estimant que le territoire n’en avait pas besoin. C’est donc naturellement que nos élus ont demandé avec insistance et enfin obtenu cette étude. Or, ses conclusions, consultables, sont sans appel : à l’heure actuelle, le Seignanx n’a pas besoin d’une telle structure. Même le Conseil Général des Landes - socialiste - a expliqué l’impossibilité d’un tel projet dans le contexte financier actuel (gel des dotations de l’Etat pour 3 ans). En revanche, les élus communistes exigent des moyens supplémentaires pour les structures existantes à Saint-Martin de Seignanx et à Tarnos.

 

Le Seignanx

"Point de Vue" de Mai 2013

Odeur, poussières, dangerosité : le ras-le-bol !

 

Oui au développement économique et industriel encadré, mais pas à n’importe quelles conditions ni à n’importe quel prix sur le Port de Bayonne !

 

Depuis plusieurs années, nous nous battons pour que les nuisances créées par la zone industrialo-portuaire soient réduites : odeurs, poussières... 

A force de mobilisations et de dialogues, d'importantes avancées ont déjà été obtenues.  Nous avons fait la démonstration qu'au XXIème siècle, de telles exigeances n'étaient pas contradictoires avec la création d'emplois et le développement industriel, nécessaire à nos économies locale comme nationale.

Le combat continue cependant !

 

Notre dossier ici.

Les mensonges de Yara !

Nous nous opposons à la fermeture de l'usine de Pardies et à la mise en danger de la population du Seignanx et de la Côte Basque sous de faux prétextes. Le transit de Nitrate d'ammonium de Yara na aucune raison de passer par chez nous.   Notre dossier ici.  

Consultation sur l'intercommunalité

Le Seignanx devrait-il rejoindre l'Agglomération Bayonnaise ? Retour sur une consultation et des débats qui sont loin d'être clôts...

 

Notre dossier ici.